Après avoir testé rapidement la version 1.2, j’ai décidé aujourd’hui de réitérer l’expérience !

Prévue pour cette fin de mois (le 30 septembre), la version 2.0 du projet ownCloud vous permettra de mettre aisément vos données personnelles dans les nuages. À la vue des nombreux articles concernant les solutions d’auto-hébergement, ownCloud pourra très certainement satisfaire vos besoins en la matière. Installation aisée, utilisation intuitive via une simple page web, support du protocole WebDAV, ce projet est donc à suivre de très près !

Cet article sera surtout l’occasion pour moi de vous présenter des captures d’écran, histoire de découvrir un peu les nouveautés !

Les nouveautés, parlons-en car elles sont plutôt nombreuses, jugez vous-même :

• Possibilité de partage public ou privé.
• Lecteur audio intégré.
• Visualisation des images directement dans l’interface.
• Calendrier.
• Gestionnaire de contacts.
• Gestionnaire de marque-pages.

J’ai très certainement oublié de mentionner d’autres nouveautés mais comme vous pouvez le constater : C’est déjà pas mal !

Installation :

Afin d’effectuer ce test, j’ai utilisé une Debian virtualisées munie d’un serveur de type LAMP : Une méthode rapide et efficace. En premier lieu, j’ai tout simplement récupéré l’application via son dépôt GIT :

$ git clone git://gitorious.org/owncloud/owncloud.git
Cloning into owncloud...
remote: Counting objects: 14281, done.
remote: Compressing objects: 100% (5899/5899), done.
remote: Total 14281 (delta 9221), reused 12004 (delta 7695)
Receiving objects: 100% (14281/14281), 5.07 MiB | 155 KiB/s, done.
Resolving deltas: 100% (9221/9221), done.

Une petite copie du dossier obtenu vers la racine du serveur suivi de la modification des propriétaires suffiront pour installer ownCloud :

# cp -r /home/david/owncloud /var/www

# chown -R www-data:www-data /var/www/owncloud

Il ne reste plus qu’à se rendre sur la page http://localhost/owncloud pour terminer l’installation. Un identifiant, un mot de passe est voilà ownCloud prêt à l’emploi !

Vous pouvez selon vos besoins installer ces dépendances optionnelles :

# aptitude install mp3info curl libcurl3 libcurl3-dev php5-curl zip

L’interface :

Comme des images valent mieux qu’un long discours voici de quoi satisfaire votre curiosité :

Page d’accueil.

Le gestionnaire de fichiers avec les options de partage.

Le calendrier.

Le gestionnaire de contacts.

Le gestionnaire de marque-pages.

Le lecteur audio intégré.

WebDAV :

Passons maintenant à un minuscule « how to » permettant de monter votre nuage tel un San-Gohan .

En ligne de commande :

• Installation de davfs2 :

# aptitude install davfs2

• Création du point de montage :

# mkdir /media/owncloud

• Montage du « nuage » :

# mount -t davfs http://localhost/owncloud/files/webdav.php /media/owncloud/

• Démontage :

# umount /media/owncloud

• Pour ne plus spécifier le couple identifiant/mot de passe :

# echo "http://localhost/owncloud/files/webdav.php <identifiant> <mot_de_passe>" >> /etc/davfs2/secrets

Méthode graphique (Nautilus):

Accédez au menu Raccourcis → Se connecter à un serveur… (Figure 1).

• Type de service : WebDAV (http)
• Serveur : localhost/owncloud/files/webdav.php
• Identifiant : Votre identifiant ownCloud

Figure 1

Facile, non ?

Conclusion :

ownCloud avance à grand pas avec cette future version 2.0 dans les starting block. Bien évidement, tout n’est pas encore parfait mais comme dit précédemment, cette application sera très certainement satisfaire vos besoins en matière d’auto-hebergement !

Un conseil : N’hésitez pas à tester ownCloud .

Lien :

• Site officiel du projet

Dans la même catégorie :

• Un petit tour dans les nuages avec ownCloud

Bon je me répète peut être, mais ce script est fait par moi, c’est à dire un monsieur Michou un peu curieux. Donc si vous avez des remarques et/ou reproches à faire, n’hésitez pas !

How to :

Debian/Ubuntu :

$ wget http://ubunblox.free.fr/UbunBlox/X-VsFTPd/X-VsFTPd_1.2.sh
$ chmod +x X-VsFTPd_1.2.sh

# ./X-VsFTPd_1.2.sh

Archlinux :

$ yaourt -S x_vsftpd

# x_vsftpd

Lien :

• Article sur X-VsFTPd

Dans la même catégorie :

• Installation d’un serveur FTP : VsFTPd

• Édition des tags individuellement ou par lot.

• Suppression des tags ID3v1 et/ou ID3v2.

• Renommage des fichiers individuellement ou par lot.

• Création des listes de lectures.

Comme vous pouvez le voir, les fonctions proposées sont communes à beaucoup d’autres logiciels du genre mais voilà Audio Tag Tool dispose d’une interface graphique en Gtk intuitive et fait correctement ce qu’on lui demande.

Enfin sachez que l’édition de milliers de tags ne pose aucun problème : Audio Tag Tool se présente comme étant un éditeur de tags sans prétention sur qui on peut compter .

Screenshots :

Installation :

Archlinux :

# pacman -S tagtool

Debian/Ubuntu :

# apt-get install tagtool

Pour lancer Audio Tag Tool, faites simplement :

$ tagtool

Lien :

• Page officiel

Dans la même catégorie :

• XCFA, le couteau suisse de la conversion audio

Grâce à celui-ci,  il vous sera possible d’écouter l’ensemble des titres mis à disposition sur le site, de créer et gérer facilement vos listes de lecture ou encore de télécharger les albums via un client torrent. Pyjama propose également d’effectuer des recherches, de gérer vos favoris ou encore de voter pour vos morceaux préférés. Bien que traduit partiellement en français, l’ensemble se révèle simple à prendre en main et il devient très agréable de découvrir la multitude d’artiste présente sur le site.

Pour ce qui est des ressources systèmes utilisées, bonne nouvelle car Pyjama utilise plus ou moins 40 Mo de mémoires vive, l’utilisation du processeur est insignifiante (sur un Pentium 4C 3Ghz)… Évidement mieux vaut être équipé en haut débit

Screenshots :

Installation :

Archlinux

Pyjama est disponible via le dépôt d’utilisateur AUR :

$ yaourt -S pyjama

Si Pyjama ne se lance pas, essayez de le lancer via la commande suivante :

$ pyjama mozplug-

Cela fonctionne parfaitement chez moi.

Ubuntu/Debian

Un paquet au format .deb est disponible sur cette page, téléchargez le puis faites simplement :

# dpkg -i pyjama-0.3.0.1_all.deb

Liens :

• Page officielle de Pyjama
• Page de téléchargement

Dans la même catégorie :

• Quod Libet : Le lecteur audio

La méthode la plus simple que j’ai trouvé est d’utiliser simplement Scrot, couplé au logiciel Mirage et d’activer l’ensemble par un simple raccourci clavier, je tenais enfin ma solution

Installation :

Évidement Scrot et Mirage doivent être installés !

Archlinux :

# pacman -S scrot mirage

Debian/Ubuntu :

# apt-get install scrot mirage

Utilisation :

Dans votre terminal fétiche, faites simplement :

$ scrot -e 'mirage $f'

Scrot prendra la capture et Mirage l’ouvrira dans la foulé.

Pour capturer uniquement une fenêtre, faites :

$ scrot -sbe 'mirage $f'

Cliquez ensuite sur la fenêtre à capturer.

Note : Pour obtenir plus d’informations concernant Scrot, n’hésitez pas à faire un ‘$ man scrot‘

Raccourcis clavier :

Maintenant que l’on connaît les commandes adéquates, un raccourci clavier sera donc le bienvenue ! Éditez le fichier rc.xml :

$ nano ~/.config/openbox/rc.xml

Puis ajoutez ces lignes dans la section « <!- Keybindings for running applications -> » :

<keybind key="Print">
<action name="Execute">
<execute>scrot -e 'mirage $f' </execute>
</action>
</keybind>
<keybind key="A-Print">
<action name="Execute">
<execute>scrot -sbe 'mirage $f' </execute>
</action>
</keybind>

Sauvegardez votre fichier et rechargez OpenBox avec un simple ‘$ openbox –reconfigure » dans votre terminal.
À présent la touche Impr prendra une capture de l’ensemble de votre bureau et la combinaison des touches Alt + Impr permettra de capturer la fenêtre sélectionnée par un clic de souris.

Et pour finir une capture d’écran de mon desktop sous Archlinux :

Dans la même catégorie :

• Raccourcis clavier sous OpenBox

]]> http://ubunblox.servhome.org/captures-decran-sous-openbox.html/feed 16 http://ubunblox.servhome.org/htop-se-melange-les-pinceaux.html http://ubunblox.servhome.org/htop-se-melange-les-pinceaux.html#comments Tue, 14 Apr 2009 17:21:24 +0000 David Lopes Ferreira http://ubunblox.servhome.org/?p=892 Ce n’est pas l’habitude de ce blog, mais lors d’une install party nous avons découvert un bug assez gênant dans Htop. Celui-ci est en effet incapable de définir correctement le nombre de processus en cours, les données affichées sont totalement incohérentes. Il est assez simple de s’en rendre compte :

• Lancez Htop et regardez le nombre de processus lancés.

• Ensuite, lancez simplement top.

• Pour finir, faites un simple ps -e | wc -l dans votre terminal.

Comme vous pouvez le voir, les valeurs renvoyés par top et la commande ps -e | wc -l sont équivalentes, ce qui n’est pas le cas de Htop !

Au moment où j’ecris ces lignes le resultat sont les suivant sur mon desktop :

• htop : 121
• top : 90
• ps -e | wc -l : 90

Le bug a été reproduit sous Archlinux, Debian, Ubuntu et Slitaz

Bien sur ce bug est déjà signalé, je profite donc simplement de ce billet pour faire un appel à l’aide.  Si par chance une personne compétente peut contribuer à la résolution de ce bug, ce serait une très bonne chose ! Surtout que cet utilitaire est utilisé par beaucoup …

Liens :

• Site web officiel de Htop
• Rapport de bug

On tire sur tout ce qui bouge ou presque, on sauve des vies (si vous le désirez…) et on essai d’éviter tout les méchants qui nous tirent dessus (pas facile…). Bref que du vieux en matière de game-play mais que c’est bon

Parlons des graphismes qui pour être franc sont bien d’un autre âge et pas besoin d’être un expert pour s’en apercevoir ! Mais une fois le choque visuel passé, on prend vraiment goût à piloter son vaisseau au rythme de musiques endiablées. Bizarrement la musique n’a rien à voir avec les graphismes, nous sommes loin des « bip bip » des années 80. Word War Vi propose une bande son et tout un tas d’effets sonores qui rythment de belle manière les parties.

Screenshots :

Installation :

Debian/ubuntu

Malheureusement aucun paquet au format .deb n’est disponible, que ce soit pour Ubuntu où Debian. Il va donc falloir installer Word War Vi à partir des sources.

Commencez par télécharger l’archive tar.gz disponible sur le site officiel. À l’heure où est écrit ce billet la dernière version en date est la 0.25.

Installez le nécessaire à la compilation :

# apt-get install build-essential gnome-core-devel portaudio19-dev libvorbis-dev

Ouvrez votre terminal et décompressez ensuite l’archive :

$ tar zxfv wordwarvi-0.25.tar.gz

Placez vous dans le répertoire obtenu :

$ cd wordwarvi-0.25/

Puis faites :

$ make

Enfin pour lancer véritablement l’installation, loggez vous en Root et tapez :

# make install

Pour ceux qui désirent créer un paquet .deb, à la place de « # make install » faites :

# checkinstall -y

Note : Pour la création d’un paquet les dépendances « auto-apt » « checkinstall » et « build-essential » sont requises. Plus d’informations sur la création d’un paquet au format .deb ici

Frugalware :

Beaucoup plus simple sous Frugalware, le paquet est disponible dans le dépôt current :

# Pacman-g2 -S wordwarvi

Merci à Devil505 !!

Utilisation :

Pour lancez le jeu c’est très simple. Ouvrez votre terminal et tapez :

$ wordwarvi

Appuyez sur la touche Q pour lancer la partie, Echap pour quitter et valider avec la barre d’espace.

Liens :

• Site officiel
• Word War Vi sur savvyadmin.com

Dans la même catégorie :

• Chromium, un excellent shoot’em up
• Tentative de création d’un paquet .deb à partir des sources
• Open Arena

• Vérifier l’état du serveur
• Démarrer VsFTPd
• Stopper VsFTPd
• Stopper et redémarrer le serveur
• Recharger les fichiers de configurations
• Visionner l’historique des connections via le fichier /var/log/vsftpd.log
• Éditer le fichier /etc/vsftpd.conf avec nano

Comme vous pouvez le voir, rien de bien exceptionnel ! Mais voilà j’utilise personnellement ce script ( je l’ai édité pour moi ) et je me suis dit qu’il pourrait servir à quelqu’un. Les dépendances dialog et nano sont nécessaires au bon fonctionnement de X-VsFTPd, dialog est utilisé pour l’affichage et nano pour éditer le fichier /etc/vsftpd.conf.

Screenshot :

Pré requis :

Comme dit précédemment le script a besoin de dialog et nano pour fonctionner, s’ils ne sont pas encore installés, il vous suffit d’inscrire dans votre terminal :

# apt-get install dialog nano

Installation :

Le script est disponible à cette adresse : http://ubunblox.free.fr/UbunBlox/X-VsFTPd/

Une fois le fichier X-VsFTPd_1.0.sh téléchargé, rendez celui-ci exécutable :

$ chmod +x X-VsFTPd_1.0.sh

Utilisation :

Pour lancer le script c’est très simple, loggez vous en Root et faites :

# ./X-VsFTPd_1.0.sh

Si vous êtes témoin d’un bug, veuillez lancez le script dans un terminal à l’aide de cette commande :

# bash -x X-VsFTPd_1.0.sh 2>X-VsFTPd_1.0_bug-report.txt

Cela aura pour effet d’inscrire toutes les actions du script dans un simple fichier texte, afin de mieux visualiser un dysfonctionnement . Il vous suffira ensuite de m’envoyer ce fichier par mail à cette adresse : ubunblox@gmail.com

Information :

J’ai édité personnellement X-VsFTPd, j’ai pris soin de commenter très largement ce script afin de le rendre compréhensible et donc facilement modifiable… faites en ce que vous voulez

Dans la même catégorie :

• Installation d’un serveur FTP : VsFTPd
• Ligne de commande FTP
• Se connecter facilement à un serveur FTP avec Nautilus

Cet utilitaire va donc vous permettre de connaître tout les services qui sont lancés, et par la même occasion de désactiver ceux que vous jugerai inutiles afin d’alléger votre système. Attention tout de même, une mauvaise utilisation de Sysv-rc-conf peut nuire au bon fonctionnement de votre installation !!

Screenshot :

Installation :

Ouvrez votre terminal et faites :

# apt-get install sysv-rc-conf

Utilisation :

Pour lancer Sysv-rc-conf avec votre terminal, inscrivez simplement :

# sysv-rc-conf

Bien que peut plaisant à l’oeil, Sysv-rc-conf reste simple à prendre en main.

• Les flèches servent à vous déplacer dans l’interface.
• La barre d’espace permet de cocher/décocher une case.
• Ctrl+N : Permet d’aller à la page suivante.
• Ctrl+P : Pour passer à la page précédente.
• Q : Quitte l’application et sauvegarde les modifications.

En règle générale sous Ubuntu/Debian, afin de désactiver un service il est nécessaire de décocher les runlevel 2 à 5. (chaque colonne correspond à un runlevel).

Pour faire simple:

• Le runlevel 0 correspond à l’arrêt du système.
• Le runlevel 1 correspond au mode mono-utilisateur (single_user).
• Les runlevels 2 à 5 correspondent au mode multi-utilisateur. La plus part des services utilisateur y compris l’interface graphique utilisent ces runlevels.
• Le runlevel 6 correspond au redémarrage de votre système.

Liens :

Afin de mieux comprendre les runlevels, je vous invite fortement à consulter ces pages :

• Contrôler le démarrage de Debian et Ubuntu
• Les runlevel sous Linux

Dans la même catégorie :

• StartUp-Manager

• $ apt-cache search vacuum

Problème il n’est pas disponible sous Debian Sid, ça se complique un peu donc… Un petit tour sur le site de l’auteur dans la section Download, deux possibilités s’offrent à moi : Un installateur pour windows et une archive au format .tar.gz contenant les sources du jeu. Le choix est évident dans mon cas : Je télécharge donc cette archive.

Pourquoi créer un paquet .deb ? Tout simplement car c’est une expérience à faire mais aussi pour pouvoir désinstaller simplement le paquet par la suite via synaptic ou encore via une ligne de commande. L’avantage c’est aussi d’avoir son propre paquet et de pouvoir le réinstaller facilement en temps voulu.

Je commence tout d’abord par extraire le contenu de l’archive :

• $ tar xzvf vacuum-0.7.tar.gz

Installation des outils nécessaires :

J’installe le nécessaire à la création d’un paquet .deb :

• # apt-get install auto-apt checkinstall build-essential

Puis je passe à la mise à jour des données :

• # auto-apt update
• # auto-apt updatedb
• # auto-apt update-local

Compilation et création du paquet :

Une fois cette tâche accomplie, la création du paquet peut commencer. Je me place dans le répertoire contenant les sources de l’archive et je commence par installer le nécessaire à la compilation :

• $ auto-apt -xy run ./configure

Je passe ensuite à la compilation :

• $ ./configure
• $ make

Il ne reste plus qu’a installer et créer le paquet au format .deb :

• # checkinstall -y

Voilà c’est terminé ! Le jeu Vacuum Magic est installé et un joli paquet au format .deb est présent . Je change par la même occasion les droits du paquet obtenu :

• # chown ‘user’:'group’ vacuum_0.7-1_i386.deb

Par curiosité, je regarde d’un peu plus près ce paquet :

• $ dpkg –info vacuum_0.7-1_i386.deb

nouveau paquet Debian, version 2.0.
taille 4844988 octets : archive de contrôle = 306 octets.
0 octets, 0 lignes conffiles
213 octets, 10 lignes control
Package: vacuum
Priority: extra
Section: checkinstall
Installed-Size: 6936
Maintainer: root@debian
Architecture: i386
Version: 0.7-1
Depends:
Provides: vacuum
Description: Package created with checkinstall 1.6.1

Pour le désinstaller, il suffit de faire :

• # apt-get remove –purge vacuum

Et grâce au paquet .deb obtenu, l’installation sera simplifiée :

• # dpkg -i vacuum_0.7-1_i386.deb

Comme vous pouvez le voir ici, la paquet vacuum est présent via synaptic.

Bien sûr le paquet ne sera utilisable que sur le système ou il a été créé !

Lien :

• Documentation sur ubuntu-fr.org

Dans la même catégorie :

• Alien ( Conversion des paquets )