Un grand merci à Asher qui m’a permis de découvrir cette astuce !

La création d’un modèle de document consiste à pré-remplir un fichier selon son type, par exemple dans le cadre d’un fichier .sh, on pourrait faire en sorte d’inscrire les informations suivante :

#!/bin/sh
 
## Variables
 
## Includes
 
## Fonctions
 
## Start

Ainsi lors de la création d’un nouveau fichier .sh, Vim se chargera d’afficher ce modèle. Cet exemple n’est peut-être pas représentatif du confort qu’apporte cette astuce mais pour information et à titre personnel, j’utilise cette fonctionnalité pour l’écriture des articles de ce blog… Je me suis fait un petit modèle de document contenant des balises HTML répondant à mes besoins et au final j’en suis très satisfait !

Une astuce bien pratique qui vous fera gagner du temps .

How to :

Créez en premier lieu le répertoire ~/.vim/templates :

$ mkdir -p ~/.vim/templates

La deuxième tâche consiste en la création de votre modèle, bien évidement vous pouvez y inclure ce que bon vous semble :

vim ~/.vim/templates/bash.sh

Pour finir, il ne vous reste plus qu’a inscrire cette ligne dans votre fichier .vimrc :

au bufNewFile *.sh 0r ~/.vim/templates/bash.sh

Créez un nouveau fichier en spécifiant l’extension pour profiter du template :

$ vim script.sh

Facile, non ?

Sondage :

Liens :

• Site officiel de Vim
• Espace asher256

Dans la même catégorie :

• VIM est passé chez moi
• Mon aventure avec Vim

Voici un petit billet de la catégorie pense-bête qui je l’espère trouvera son utilité !

Installant de manière régulière des systèmes GNU/Linux sur des ordinateurs plus ou moins récents, un problème se posait inéluctablement : Je n’ai tout simplement pas accès à la box… Du moins, je n’ai pas d’accès physique « pratique ». En d’autres termes, il faudrait relier ces ordinateurs avec un câble d’une bonne trentaine de mètres : Inconcevable et peu pratique quoi qu’il en soit !

Vous serez sûrement d’accord qu’installer un système sur un ordinateur n’ayant pas de de carte wifi ou  qui n’est tout simplement pas reconnue lors de l’installation n’est pas une chose aisée.

En toute logique et afin de régler ce problème, le partage de connexion internet se trouve être pour moi une solution simple, rapide et efficace d’arriver à mes fins.

Le cas de figure :

• Le PC n°1 accède à internet via un réseau wifi délivré par une box.
• Le PC n°2 ne possède pas de carte wifi.
• La box se situe trop loin pour espérer y relier le PC n°2.
• La solution consiste donc à utiliser le PC 1 afin de partager sa connexion internet avec le PC N°2.

Illustration :

How to :

Note : Les opérations suivantes ont été réalisées sous Ubuntu 10.10 Maverick

Pour commencer, faites un clic droit sur l’icône de réseau situé dans la zone de notification puis choisissez « Modifications des connexions… »

Vous pouvez aussi accéder à cette fonctionnalité en vous rendant dans le menu Système → Préférences → Connexions réseau.

Sélectionnez à présent votre carte ethernet, qui se nomme ici « AUTO eth0 »  puis cliquez sur le bouton « Modifier« .

Une nouvelle boite de dialogue apparaît, rendez vous dans l’onglet « Paramètres IPv4 » puis modifiez l’entrée « Méthode » via le menu déroulant pour y choisir « Partagé avec d’autres ordinateurs« .

Cliquer sur le bouton « Appliquer » afin de valider la modification.

Votre mot de passe administrateur vous sera alors demandé, saisissez le et validez. Il ne vous reste plus qu’a connecté le PC n°2 au PC n°1 : Il pourra enfin accéder à internet !

Simple non ?

Lien :

Documentation sur Ubuntu-fr.org

Étant le propriétaire d’un netbook équipé d’un Intel Atom N550 cadencé à 1,5 Ghz ( 2 coeurs, 4 threads. ), j’ai eu la désagréable surprise de m’apercevoir que celui-ci peinait à m’offrir une bonne expérience de visionnage des vidéos HD avec Mplayer. Saccades, désynchronisations : Il était impossible de regarder sereinement une vidéo HD.

Après plusieurs tentatives de réglages infructueuses, je me suis aperçu que Mplayer utilisait qu’un seul thread sur les quatre disponibles. Inéluctablement cela amenait à un taux d’occupation avoisinant les 100%. Une situation peu enthousiaste surtout quand l’on sait qu’en dispatchant cette charge sur les différents threads la lecture se ferait sans aucun désagréments.

mplayer-mt-lite est arrivé !

J’ai trouvé la solution en utilisant le paquet mplayer-mt-lite disponible sur AUR, après installation plus aucun souci n’est venu perturber la lecture d’une vidéo HD. Les quatre threads sont utilisés, la charge CPU est devenue presque insignifiante : Que du bonheur donc !

How to :

Un simple coup de yaourt suffira :

$ yaourt -S mplayer-mt-lite

Ajoutez ensuite la ligne «  lavdopts=threads=4  » au fichier de configuration de Mplayer :

echo 'lavdopts=threads=4' >> ~/.mplayer/config

Bien évidement le nombre de threads se fera en fonction des caractéristiques de votre processeur, un petit « lscpu » vous renseignera sur ce sujet :

$ lscpu
Architecture :        i686
mode(s) opératoire(s) des microprocesseurs :32-bit, 64-bit
Byte Order:            Little Endian
CPU(s):                4
On-line CPU(s) list:   0-3
Thread(s) par coeur : 2
Coeur(s) par socket : 2
Socket(s) de microprocesseur :1
identifiant constructeur :GenuineIntel
Famille de microprocesseur :6
Modèle :             28
Version :             10
vitesse du microprocesseur en MHz :1496.273
BogoMIPS:              2993.22
cache L1d :           24K
cache L1i :           32K
cache L2 :            512K

Pour finir, voici la charge CPU enregistrée par « htop » lors de la lecture d’un flux HD avec Mplayer :

Il ne manque plus que les pop-corn !

Lien :

• mplayer-mt-lite sur AUR

Dans la même catégorie :

• Captures d’écran avec Mplayer

@,# à la place de <, > :

Après installation d’Ubuntu 10.10 les touches @ et # écriront respectivement < et >, évidement le problème à sa solution.

Créez dans votre home le fichier .xmodmap :

$ nano ~/.xmodmap

Ajoutez ensuite ces lignes :

keycode 49 = less greater less greater VoidSymbol VoidSymbol
keycode 94 = at numbersign at numbersign periodcentered Ydiaeresis

Sauvegardez votre fichier et faites :

$ xmodmap ~/.xmodmap

Quittez la session, au redémarrage une boite de dialogue apparaitra vous proposant de charger le fichier xmodmap. Chargez-le, cochez par la même occasion la case ‘ Ne plus afficher ce massage ‘, validez et le tour est joué .

Modifier le comportement des touches de fonctions :

Par défaut les touches F1 à F9 activent les fonctions ‘ multimédia ‘, vous pouvez retrouver un comportement similaire aux touches d’un pc. Il vous faudra alors appuyer simultanément sur les touches ‘ Fn + F10 ‘ pour couper le son par exemple.

Éditez le fichier hid_apple.conf :

$ sudo nano /etc/modprobe.d/hid_apple.conf

Ajoutez cette ligne :

options hid_apple fnmode=2

Sauvegardez puis faites :

$ sudo update-initramfs -u

Après un reboot, cela devrait fonctionner.

Gérer la luminosité avec les touches F1 & F2 :

Ajoutez le dépôt mactel :

$ sudo add-apt-repository ppa:mactel-support

$ sudo apt-get update

$ sudo apt-get install nvidia-bl-dkms

Un redémarrage sera nécessaire pour activer cette fonction.

Dans la même catégorie :

• MacBook, Arch Linux et Grub2

How to :

La manipulation est très simple, l’unique modification du fichier inittab sera suffisante .

# nano /etc/inittab

Modifiez ensuite le fichier de cette manière :

# Boot to console
#id:3:initdefault:
# Boot to X11
id:5:initdefault:

# Example lines for starting a login manager
#x:5:respawn:/usr/bin/xdm -nodaemon
#x:5:respawn:/usr/sbin/gdm -nodaemon
#x:5:respawn:/usr/bin/kdm -nodaemon
#x:5:respawn:/usr/bin/slim >& /dev/null
x:5:once:/bin/su nom_d'utilisateur -l -c "/bin/bash --login -c /usr/bin/startx >/dev/null 2>&1"
# End of file

Il suffit donc de décommenter la ligne suivante :

id:5:initdefault:

Ajoutez ensuite :

x:5:once:/bin/su nom_d'utilisateur -l -c "/bin/bash --login -c /usr/bin/startx >/dev/null 2>&1"

Éditez cette ligne en prenant soin d’y inscrire votre nom d’utilisateur !

Note : Veillez à supprimer de votre fichier rc.conf l’éventuel daemon lié à votre login manager.

Sauvegardez, le tour est joué .

‘Manque la possibilité de se connecter en utilisateur. Le daemon wicd permet de ne pas passer en root à chaque fois.’

Il est tout à fait vrai qu’ouvrir un terminal, se connecter en tant que root et lancer Wifi-select peut devenir ennuyeux à la longue.  Alors j’ai imaginé une petite astuce qui permet d’utiliser Wifi-select en faisant le moins d’effort possible ! Ce n’est peut être pas la meilleure solution mais elle a le mérite de fonctionner .

How to :

Tout d’abord, il faut faire en sorte que Wifi-select se lance sans avoir besoin de rentrer le moindre mot de passe.

# nano /etc/sudoers

Ajoutez ensuite la ligne suivante :

votre_nom_d'utilisateur  ALL=(ALL) NOPASSWD: /usr/bin/wifi-select

Sauvegardez et le tour est joué.

À présent il suffit d’ajouter un raccourci clavier qui permettra le lancement de Wifi-select :

$ nano /$HOME/.config/openbox/rc.xml

On y ajoute 5 petites lignes :

    <keybind key="C-twosuperior">
      <action name="Execute">
        <execute>terminator -e "sudo wifi-select wlan0" </execute>
      </action>
    </keybind>

On sauvegarde, puis on recharge OpenBox :

$ openbox --reconfigure

Evidemment selon votre configuration, les manipulations seront différentes mais ça vous servira de base… Encore une fois c’est Faelar qui va être content.

Merci à la petite Isa pour son aide .

Dans la même catégorie :

• Wifi-select
• Raccourcis clavier sous OpenBox

Un petit ‘man mplayer’ m’informe qu’il suffit d’appuyer sur la touche S pour prendre une capture ou sur la combinaison de touches Maj + S pour effectuer des clichés de manière continue. Manque de chance, ça ne fonctionne pas mais en y regardant de plus près voici le message que Mplayer renvoie après une pression sur la touche S :

VFCTRL_SCREENSHOT!006 ct: -0.041 430/430 13% 2% 2.0% 3 0
Failed (forgot -vf screenshot?)

How to :

Une nouvelle lecture du manuel (qui au passage est très long) m’informe que Mplayer doit être lancé avec des commandes supplémentaires :

$ mplayer -vf screenshot video.ogv

Cette option concorde parfaitement avec la notification envoyé par Mplayer. Un petit test, ça fonctionne correctement ! Tout cela est très bien sauf qu’il faut recommencer l’opération à chaque fois… Je ne le savais pas vraiment mais Mplayer possède un fichier de configuration qui permet en autre de sauvegarder les préférences.

Il suffit d’éditer le fichier nommé ‘config‘ :

$ nano $HOME/.mplayer/config

Ajoutez simplement le ligne :

vf=screenshot

Sauvegardez et le tour est joué

Je vous conseille vivement de lire le manuel Mplayer, comme moi vous aurez sans nul doute beaucoup à apprendre !

Lien :

• Site officiel de Mplayer

Dans la même catégorie :

• Captures d’écran sous OpenBox
• Ripper et encoder facilement un DVD

Ayant un peu de temps à perdre, je me suis mis en tête de résoudre ce petit désagrément. Cette article n’a rien d’exceptionnel, il indique juste pas à pas la démarche effectuée par mes soins… Rien de bien difficile à vrai dire, mais cela prouve que les systèmes GNU/Linux possèdent bien des avantages .

How to :

Premièrement, il faut rechercher la location des fichiers concernant Sonata :

$ locate sonata
/home/gnu/.config/sonata
/home/gnu/.config/sonata/art_cache
/home/gnu/.config/sonata/sonatarc
/usr/bin/sonata
/usr/lib/python2.6/site-packages/sonata
/usr/lib/python2.6/site-packages/sonata/__init__.py
/usr/lib/python2.6/site-packages/sonata/__init__.pyc
/usr/lib/python2.6/site-packages/sonata/about.py
...

À priori, une recherche du terme « wikipédia » dans le répertoire /usr/lib/python2.6/site-packages/sonata doit suffire…

$ grep -r "wikipedia" /usr/lib/python2.6/site-packages/sonata
/usr/lib/python2.6/site-packages/sonata/main.py:            browser_not_loaded = not misc.browser_load("http://www.fr.wikipedia.org/wiki/Special:Search/" + urllib.quote(mpdh.get(self.songinfo, 'artist')), self.config.url_browser, self.window)
/usr/lib/python2.6/site-packages/sonata/main.py:            browser_not_loaded = not misc.browser_load("http://www.fr.wikipedia.org/wiki/Special:Search/" + urllib.quote(mpdh.get(self.songinfo, 'album')), self.config.url_browser, self.window)
...

Bingo ! Le terme « wikipedia » est bien présent dans le fichier main.py, il ne reste plus qu’à le modifier :

# nano /usr/lib/python2.6/site-packages/sonata/main.py

def on_link_click(self, type):
browser_not_loaded = False
if type == 'artist':
browser_not_loaded = not misc.browser_load("http://www.fr.wikipedia.org/wiki/Special:Search/" + urllib.quote(mpdh.get(self.songinfo, 'artist')), self.config.url_browser, self.window)
elif type == 'album':
browser_not_loaded = not misc.browser_load("http://www.fr.wikipedia.org/wiki/Special:Search/" + urllib.quote(mpdh.get(self.songinfo, 'album')), self.config.url_browser, self.window)

Astuce : Pour effectuer une recherche avec nano appuyez sur les touches Ctrl + H

Sauvegarde du fichier et un petit test : Ça fonctionne .

Pour finir, voici la version utilisée de Sonata sur mon Archlinux :

$ yaourt -Si sonata
Dépôt                 : extra
Nom                   : sonata
Version               : 1.6.2.1-1
URL                   : http://sonata.berlios.de/
Licences              : GPL3
Groupes               : --
Fournit               : --
Dépend de             : pygtk  python-mpd
Dépendances opt.      : gnome-python-extras: Enhanced system tray support
                        tagpy: Metadata editing support
                        zsi: Lyrics fetching support
                        dbus-python: Various extra functionality (e.g.
                        multimedia keys support)
Est en conflit avec   : --
Remplace              : --
A télécharger         : 503,11 K
Taille (installé)     : 1976,00 K
Paqueteur             : Andrea Scarpino
Architecture          : i686
Compilé le            : dim. 04 oct. 2009 15:24:15 CEST
somme MD5             : 3540c1c796a3457028fbe672c2e9f623
Description           : Elegant GTK+ music client for MPD

Liens :

• Site officiel de Sonata
• Site officiel de MPD

Pour pallier à ce manque, j’ai simplement modifié le plugin destiné à la gravure sous K3B pour qu’il permette l’utilisation de Brasero, résultat : Ça fonctionne très bien ! Je peux enfin graver mes playlists d’un simple clic de souris .

Screenshots :

How To :

Créez en premier lieu le fichier brasero.py :

$ gedit brasero.py

Copiez-y ensuite les lignes suivantes :

# Copyright 2005 Joe Wreschnig
# Copyright 2009 WeedFast(ubunblox@gmail.com)
# This program is free software; you can redistribute it and/or modify
# it under the terms of the GNU General Public License version 2 as
# published by the Free Software Foundation
#
# $Id$
 
import os
import util
from plugins.songsmenu import SongsMenuPlugin
 
class Burn(SongsMenuPlugin):
    PLUGIN_ID = 'Graver la selection avec Brasero'
    PLUGIN_NAME = _('Graver avec Brasero')
    PLUGIN_DESC = 'Graver un CD audio avec Brasero.'
    PLUGIN_ICON = 'gtk-cdrom'
    PLUGIN_VERSION = '0.15'
 
    def plugin_songs(self, songs):
        if not util.iscommand("brasero"):
            ErrorMessage(
                None, "Brasero not found",
                "The Brasero burning program was not found. ").run()
        else:
            files = [song['~filename'] for song in songs]
            try: util.spawn
            except:
                if len(files) == 1: filelist = "%r" % files[0]
                else: filelist = ("%r " * len(files)) % tuple(files)
                os.system('brasero --audio %s &' % filelist)
            else:
                util.spawn(["brasero", "--audio"] + files)

Sauvegardez le fichier, il ne reste plus qu’à le déplacer dans le bon répertoire. Sous Archlinux, ce plugin doit être placé dans le répertoire /usr/lib/python2.6/site-packages/quodlibet/plugins/songsmenu.

# mv -v brasero.py /usr/lib/python2.6/site-packages/quodlibet/plugins/songsmenu

Pour finir, lancez Quod Libet et activez le plugin !

Dans la même catégorie :

• Plugin “Export to HTML” sous Quod Libet
• Quod Libet et l’affichage d’informations sous conky
• Quod Libet : Le lecteur audio

conky: error while loading shared libraries: liblua.so:
cannot open shared object file: No such file or directory

Le problème est donc lié au chargement de liblua.so. Compris, sauf que je n’ai pas le courage de rechercher la solution sur la toile… Honte à moi. Enfin bref, je décide de rétrograder la version de conky, plus simplement :  Je remplace le nouveau paquet par l’ancien.

How To :

Première chose à faire : retrouver l’ancien paquet. Un petit tour dans le dossier /var/cache/pacman/pkg s’impose donc :

$ ls  /var/cache/pacman/pkg | grep "conky"
  conky-1.7.1-1-i686.pkg.tar.gz

Pas de chance la version 1.7.1-1 est la dernière en date… J’abuse un peu trop de la commande « pacman -Scc » apparemment . Tout n’est pas perdu pour autant, les anciens paquets sont disponibles sur le net. Après deux minutes de recherche, je trouve mon bonheur ici.

Deuxième étape : Suppression de la version installée et installation du paquet fraichement téléchargé :

# pacman -Rsn conky

# pacman -U conky-1.7.0-3-i686.pkg.tar.gz

Une fois l’installation achevée, je lance conky : Super, ça fonctionne !

Parfait sauf qu’à la prochaine mise à jour, la nouvelle version du paquet sera installée : Un peu embêtant tout de même… La troisième et dernière étape consistera donc à indiquer au gestionnaire de paquet de ne pas upgrader le paquet conky :

# nano /etc/pacman.conf

# Pacman won't upgrade packages listed in IgnorePkg and members of IgnoreGroup
IgnorePkg   = conky
#IgnoreGroup =

Comme vous pouvez le voir,  il suffit de dé-commenter la ligne IgnorePkg et d’y ajouter conky. Sauvegarde du fichier et lancement d’une mise à jour histoire de vérifier :

# pacman -Syu
:: Synchronisation des bases de données de paquets...
core est à jour;
extra est à jour;
community                365,9K  471,7K/s 00:00:01 [#####################] 100%
archlinuxfr est à jour;
:: Début de la mise à jour complète du système...
Avertissement: conky: ignore la mise à jour du paquet (1.7.0-3 => 1.7.1-1)
La base de données locale est à jour.

Le paquet conky n’est donc pas upgradé… Facile non ? Bon je vous l’accorde, j’aurai certainement passé beaucoup moins de temps à rechercher la solution au vrai problème. Chose que je ferai d’ici peu, mais cela m’a permis de rétrograder mon premier paquet sur Archlinux et donc d’en apprendre un peu plus.

Dans la même catégorie :

• Conky