Si vous êtes lecteurs de ce blog, vous devez sans nul doute connaître le service proposé par cubbi.es. Pour rappel, celui-ci vous permet de publier via un simple clic de souris n’importe quelles images provenant de la toile sur votre profil Diaspora*.

Une application bien sympathique mais qui souffre selon moi d’un petit désagrément…

En effet, aucune option n’est proposée à l’utilisateur pour récupérer localement les images uploadées. Il existe bien la possibilité de stocker les images grâce au service Dropbox mais cette solution ne me plaît pas vraiment…

Alors comment faire ? La réponse est simple, l’outil l’est encore plus ! Pour accomplir cette tâche, nous allons tout simplement utiliser le logiciel Firefox. Et oui, notre fureteur dont la version 7.0 est sortie il y a peu, permet de récupérer l’ensemble des images présentes sur une page web.

C’est exactement ce qu’il nous faut !

How to :

Accédez en premier lieu à votre page cubbies à l’aide de Firefox, effectuez un clic droit sur l’une des photos (ou tout autre endroit sur la page) puis choisissez l’intitulé ‘Informations sur la page‘. (Figure 1)

Figure 1

Une fois la nouvelle fenêtre affichée, choisissez l’onglet ‘Média‘ (Figure 2).

Figure 2

La suite des opérations est fort simple, il vous suffit de sélectionner les images désirées et d’appuyer sur le bouton ‘Enregistrer sous…‘. Choisissez le répertoire de destination, patientez un peu et c’est dans la boite !

Facile non ?

Évidement, cette « mini-astuce » fonctionne dans bien d’autres cas !

Pour les amoureux de la ligne de commande, un outil tel que wget peut très certainement accomplir cette tâche. En toute franchise, j’ai voulu commencer de cette manière : Malheureusement, celle-ci s’est soldée par un échec ! N’ayant que très peu de temps libre en ce moment (RTFM), j’ai décidé de rechercher une méthode alternative…

Si par chance une personne sort la ligne de commande magique, je suis preneur .

Bonne semaine à vous et à bientôt !

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• Diaspora* : Le guide du parfait débutant

Envie de partager une page web rapidement sur le réseau social Diaspora* ? Voici donc un plugin développé par Vittorio Cuculo qui vous permettra d’un simple clic de partager un lien.

Son nom ? Diaspora* Publisher !

À l’heure où j’écris ces lignes, le plugin en question est uniquement disponible pour le navigateur Google Chrome (Chromium). Dommage pour les utilisateurs de Firefox ou autres : En espérant que ce manque sera vite comblé.

How to :

Rendez-vous tout d’abord sur la page de l’extension Diaspora* Publisher, puis appuyez sur le bouton ‘ Ajouter à Google Chrome‘ (Figure 1).

Figure 1

Une fois l’installation effectuée, faites un clic droit sur l’icône Diaspora* et choisissez l’intitulé ‘Options‘ (Figure 2).

Figure 2

La configuration du plugin est relativement aisée puisqu’il vous suffit d’indiquer votre pod. Choisissez celui-ci via la liste déroulante et validez l’opération (Figure 3).

Figure 3

Quittez la page de configuration, Diaspora* Publisher est à présent fonctionnel !

Pour partager un lien, appuyez sur l’icône, une nouvelle fenêtre s’ouvrira alors à vous. Modifiez-en le contenue si vous le désirez, choisissez les aspects et partagez ! (Figure 4). La fenêtre se fermera automatiquement une fois le partage effectué.

Figure 4

Voilà donc de quoi partager rapidement selon vos envies

Diaspora* Publisher se présente donc comme un très bon moyen de partage : Simple et efficace, dommage qu’il soit disponible uniquement pour Google Chrome…

Lien :

• Page de l’extension

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• Diaspora* : Le guide du parfait débutant

À l’heure où j’écris ces lignes, le réseau social Diaspora* permet de se mettre en relation avec les services Facebook, Twitter ou encore Tumblr. Quand je parle de mise en relation, je fais mention de la possibilité d’envoyer un message simultanément sur les différentes plateformes citées précédemment.

Pour le moment, le support des services Identi.ca/StatusNet n’est pas encore à l’ordre du jour. Une situation regrettable pour toute la communauté des libristes mais qui n’est que temporaire puisque les développeurs en charge du projet travaillent sur le sujet.

En attendant, comment faire pour afficher simultanément ses messages sur Diaspora* et Identi.ca ? La réponse se nomme tout simplement Brdcst it, un service tiers qui permet d’effectuer cette tâche en attendant une véritable intégration.

Alors ça fonctionne ?

Le principe est relativement simple : Le service Brdcst it va tout simplement récupérer et diffuser le flux RSS de votre profil Diaspora*. Cette méthode a bien évidement des limites, le choix de la parution ou non parution d’un message vers Identi.ca n’est par exemple pas vraiment possible à moins de désactiver le service à chaque fois…

Bien évidement, tout cela fait un peu rustine mais cette solution a tout de même le mérite de bien fonctionner, alors voyons comment mettre en place ce système !

How to :

Rendez-vous en premier lieu sur le service Brdcst it en vous rendant à cette adresse :

• http://brdcst.it/

Puis cliquez sur le lien nommé ‘Login / Register‘ (Figure 1Brd).

Figure 1Brd

Afin de faciliter l’inscription, vous allez vous identifier directement avec votre ID provenant d’Identi.ca. Appuyez sur l’icône correspondant au service Identi.ca puis inscrivez votre nom d’utilisateur (Figure 2Brd).

Figure 2Brd

Acceptez l’identification (Figure 3BrdBrd).

Figure 3Brd

Vous voilà à présent sur la page d’inscription (Figure 4Brd), rien de bien difficile ici, inscrivez tout simplement une adresse de courriel valide ainsi qu’un pseudonyme d’identification. Un fois cela fait, cochez la petite case située en bas de la page et validez votre inscription en appuyant sur la bouton ‘login‘.

Figure 4Brd

Vérifiez ensuite votre boite courriel afin de valider votre inscription en cliquant sur le lien fourni (Figure 5Brd).

Figure 5Brd

Passons à présent à la configuration du service. Une fois arrivé sur la page indiquée par le lien, cliquez sur la mention ‘Add your first feed‘ (Figure 6Brd).

Figure 6Brd

La manœuvre consiste à indiquer le flux RSS de votre profil Diaspora* (Figure 7Brd), dans mon cas, il s’agit de :

https://joindiaspora.com/public/weedfast

Figure 7Brd

N’hésitez pas à tester votre lien avant de passer à la prochaine étape !

La suite sert à indiquer les « entêtes » à récupérer, vous pouvez laisser les valeurs par défaut sans oublier de cocher la case ‘Enabled‘ pour prendre en compte votre flux (Figure 8Brd).

Figure 8Brd

Maintenant que vous avez choisi la source, il va bien falloir indiquer une destination, à savoir envoyer, le flux RSS de votre profil Diaspora* vers Identi.ca ! De retour sur la page d’accueil, appuyez sur ‘Add new destination‘, puis choisissez le service Identi.ca (Figure 9Brd).

Figure 9Brd

Il ne vous reste plus qu’à autoriser l’application Brdcst it (Figure 10Brd), puis de sauvegarder votre configuration !

Figure 10Brd

Voilà, fin de cet article, en espérant que celui-ci vous sera utile .

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• Diaspora* : Le guide du parfait débutant

Avec un peu de retard ( voir beaucoup ), je viens de tester l’application ownCloud dans sa version 1.2, j’en profite donc pour vous en faire un rapide billet. Pour ceux et celles qui l’ignorent, ownCloud se présente comme étant le « Dropbox’s like » du libre et vous propose de mettre vos données dans les nuages.

Enfin pas complètement dans les nuages, puisque contrairement à Dropbox l’utilisateur ne donne en aucun cas ses précieuses données à une entreprise tiers, celles-ci resteront bien au chaud sur son serveur ( si celui-ci, est en sa possession).

Comme vous pouvez l’imaginer, l’idée est plutôt sympathique !

Après avoir installé une Debian Squeeze sous VirtualBox ainsi que toute la panoplie du parfait serveur, j’ai enfin pu me mettre à ownCloud ! En toute franchise, l’installation s’est révélée d’une simplicité enfantine : La documentation disponible sur le site du projet permet de s’acquitter de cette tâche sans le moindre problème.

Enfin sachez que selon la distribution utilisée, des paquets sont disponibles ( Ubuntu, Arch Linux, openSUSE, etc… ), ce qui bien évidement facilite encore cette étape .

Screenshots :

À l’usage :

L’usage du service ownCloud est très agréable, l’interface est propre, fonctionnelle bien qu’un peu triste à mon goût. Les fonctionnalités ne se bousculent pas encore au portillon mais le principale est là :

• Upload des données.
• Téléchargement des fichiers.
• Création des fichiers et des dossiers.
• Suppression des fichiers et des dossiers.
• Gestion des utilisateurs.
• Fichiers de log.
• Backup automatique.
• Gestion des plugins.
• Chiffrement des données.

J’en ai peut-être oublié au passage, mais je vous assure qu’il y a déjà de quoi faire via l’interface proposée par ownCloud ! Le seul reproche pour le moment que je pourrais faire, c’est de ne pas pouvoir uploader plusieurs fichiers d’un coup ou encore y ajouter un dossier ( à moins que j’ai loupé un épisode ). Des fonctionnalités qui seront certainement présentes dans les futures versions.

J’ai noté également que la taille des fichiers en upload est limitée à 2Mo par défaut, une restriction que l’on peut bien évidement contourner en modifiant certaines valeurs du fichier /etc/php5/apache2/php.ini. De même le répertoire de base peut être modifié après l’installation.

Note : Je suis loin d’être un as des applications en réseau mais il me semble que cette restriction ne soit pas propre à ownCloud.

Malgré ses petits défauts de jeunesse, ownCloud m’a beaucoup plu, son installation aisée ainsi que son interface fonctionnelle sont vraiment des atouts à ne pas négliger ! En tout cas, c’est réellement une très borne alternative à Dropbox : Posséder son propre « Cloud » et pourquoi pas en faire partager ses amis est une excellente chose !

La version 2.0 ne devrait plus trop tarder, ce sera une excellente raison pour moi de vous en reparler et de faire un « How to » digne de se nom .

Lien :

• Page officielle de ownCloud

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• DropBox, Thunar et Arch Linux

Tout est dans le titre ! Suite à plusieurs demandes, J’ai pris la décision de faire un guide d’utilisation du réseau social Diaspora* : Une sorte de « Diaspora* pour les nuls » qui vous permettra de vous lancer sur cette nouvelle plateforme !

Alors à qui s’adresse ce guide ? Je suis évidement tenté de dire pour tout le monde, bien que la connaissance même du projet Diaspora* ne soit pas acquise pour une grande majorité des internautes. La plupart connaissent et/ou utilisent Facebook mais ignorent l’existence des alternatives libres plus respectueuses de la vie privée des utilisateurs.

À titre personnel, je considère Diaspora* comme étant un formidable outil de partage des connaissances, il est relativement simple, comme vous allez le voir de trouver des personnes selon ses points d’intérêts. Contrairement aux utilisateurs utilisant Facebook, ceux-ci n’ont pas peur d’élargir leur liste de contacts sous prétexte qu’ils ne les connaissent pas, la motivation première étant de partager en toute simplicité ce que l’on aime avec toute une communauté.

J’exagère un peu et je suppose que certaines personnes ne seront pas d’accord avec mes propos, en expliquant par exemple qu’ils ne mettent absolument rien de privé sur Facebook, que celui-ci reste le seul moyen de garder contact avec les proches ou encore que Diaspora* est, et restera un réseau social de niche pour « geek », peu importe… Le plus important étant de prendre plaisir à utiliser l’un de ces réseaux.

De toute manière, je ne suis pas là pour forcer la main des gens, la liberté commence par le choix, alors libre à vous de tester ou non Diaspora* !

Comme vous pouvez l’imaginer, l’élaboration de cet article m’a demandé pas mal de temps et je souhaite une chose : Que celui-ci ne reste pas uniquement sur ce blog… Copiez, partagez, modifiez celui-ci ! Faites en un PDF, un Wiki ou pourquoi pas un livre, peu importe du moment qu’il ne reste pas orphelin sur ce serveur. Le travail que je viens d’effectuer, je ne l’ai pas fait pour moi (Je sais utiliser Diaspora*) mais pour tout le monde ! Ce n’est qu’un simple partage de « connaissances » que je mets au profil de tous, alors si celui-ci vous intéresse, n’hésitez pas à en faire ce que vous vous voulez .

Pour information, cet article est sous licence Creative Commons « CC BY-SA 2.0″.

Contributeur : Michel Eenens.

Je vous souhaite à tous une bonne lecture et peut-être à bientôt sur Diaspora* !

Sommaire :

I. Inscription et compagnie.

1. Le choix du serveur.
2. L’inscription.
3. Création d’un profil public.
4. Connexion au réseau social Facebook.

II. Premiers pas.

1. Bienvenue sur Diaspora* !
2. Les aspects.
3. Les contacts.
4. Votre premier message.
5. Publier des images.
6. La messagerie privée.

III. Plus loin avec Diaspora*.

1. Écrire avec style.
2. Les commentaires.
3. Les hashtags.
4. Cubbi.es.
5. Les flux RSS.

IV. Options et gestion du compte.

1. Gestion du profil.
2. Paramètres du compte.
3. Ajout des services.
4. Gestion des applications.

V. Bonus.

1. Diaspora* et Identi.ca.

I. Inscription et compagnie.

1. Le choix du serveur :

Diaspora* est un réseau social décentralisé : Pour faire simple et contrairement à Facebook, les informations liées aux utilisateurs ne sont pas stockées dans un seul et même endroit. Elles sont dispersées sur différents serveurs également appelés « pod », l’utilisateur a donc le choix de l’endroit servant au stockage de ses informations.

L’avantage de ce système est indéniable : Personne n’a la capacité de s’approprier les informations de tous les utilisateurs puisque celles-ci sont éparpillées à travers le monde !

Il est également possible d’installer une instance de Diaspora* sur son propre serveur : Bien que cette méthode soit réservée aux initiés, elle permet d’avoir un contrôle total sur les informations personnelles publiées sur le réseau. Par exemple, les images partagées ne seront plus stockées sur un serveur situé dans un endroit inconnu mais sur sa propre machine : L’utilisateur reste donc maître de ses données.

Bien évidement, il ne sera pas question d’installer Diaspora* sur un serveur dans cet article ! Nous utiliserons un serveur existant, la seule chose que vous aurez à faire sera donc de choisir celui-ci.

Afin de faire votre choix, le site Diaspora Pod uptime regroupe l’ensemble des instances disponibles et, cerise sur le gâteau, celui-ci vous donne également quelques informations concernant les dernières mises à jour des serveurs ou encore le pourcentage de disponibilité de chacun.

Dans le cadre de ce guide, j’ai utilisé le serveur diasp.org, libre à vous d’en faire de même ou de choisir un autre serveur ! En ce qui me concerne, je suis depuis le début sur le serveur joindiaspora.com qui demande encore à ce jour une invitation.

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2. L’inscription :

Pour commencer, il est nécessaire de passer par l’étape d’inscription, une fois arriver sur la page de présentation du serveur, cliquez sur le bouton « log in » situé en haut à droite (Figure 1).

Figure 1

Une nouvelle page s’ouvre alors à vous, vous invitant à indiquer votre identifiant ainsi que le mot de passe qui lui est associé (Figure 2) : Deux choses que vous ne possédez pas encore. Pas de panique, appuyez simplement sur le lien nommé « Sign up » pour accéder à la page d’inscription.

Figure 2

Durant cette phase (Figure 3), les informations suivantes vous seront demandées :

• Nom d’utilisateur : Votre nom ou pseudo, celui-ci qui vous servira d’identifiant.
• E-mail : Un adresse courriel valide.
• Mot de passe : Un joli mot de passe que vous prendrez soin de garder en mémoire.
• Confirmation du mot de passe : On ne sait jamais !

Figure 3

Tout est rempli avec soins ?

Alors il ne vous reste plus qu’à cliquer sur le bouton ‘Inscription‘.

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3. Création d’un profil public :

Afin d’achever correctement la phase d’inscription, il est demandé de créer son profil public : Comprenez par là que les informations inscrites ici seront à la vue de tous.

Inscrivez les informations suivantes (Figure 4):

• Prénom.
• Nom.
• Description en 5 mots.

Figure 4

Chose importante, contrairement à Google+ ou Facebook, il n’est en aucun cas nécessaire ou demandé d’inscrire votre véritable identité : Faites donc comme bon vous semble ! Autre point, la description : 5 mots pour vous décrire voilà ce que vous propose Diaspora*, une demande pour le moins originale mais qui a une grande importance. Ces cinq mots sont en faite des simples « hashtags », un moyen qui permet, entre autre, de répertorier les utilisateurs selon leur préférences. On peut par exemple mettre : french linux art sport cuisine. Par la suite, il vous sera facile de partager avec des personnes ayant les même centres d’intérêt mais aussi de les modifier.

Si le concept de « hashtags » vous paraît encore flou, ne vous inquiétez pas, je reviendrai allègrement sur ce sujet à de nombreuses occasions.

Astuce : Lorsque vous commencez à écrire un mot, la complémentation s’activera automatiquement, vous laissant ainsi le loisir de découvrir les « hashtags » déjà utilisés.

Afin d’enrichir votre profil, vous pouvez l’accompagner d’une image : Votre vrai visage, un avatar ou tout autre image feront l’affaire .

Pour finir, il vous est demandé de rendre votre profil visible aux yeux de tous ou uniquement à vos contacts : Un choix qui n’engage que vous, par défaut votre profil sera rendu public.

Une fois cette page remplie, il ne vous reste plus qu’à valider pour découvrir la suite !

Note : Durant l’élaboration de cet article, j’ai eu le droit à une page entièrement rédigée en allemand ! Cela peut faire peur au premier abord mais n’ayez crainte, vous aurez le droit par la suite à un joli Diaspora* intégralement dans la langue de Molière.

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4. Connexion au réseau social Facebook :

Diaspora* vous propose la liaison entre lui et le réseau Facebook (Figure 5) : Un choix qui ne dépendra que de vous, si vous acceptez, les messages publiés sur Diaspora* le seront aussi sur Facebook selon vos désirs.

Figure 5

Félicitation, vous voilà à présent connecté au réseau social Diaspora* ! En espérant que vous prendrez plaisir à partager avec de nombreux utilisateurs .

Important : Si comme lors de ce test, votre page n’est pas en français, cliquez le menu situé en haut à droite indiquant votre nom et prénom et choisissez le deuxième choix (ce qui correspond en français à « compte »). Une fois arrivé sur la nouvelle page, il ne vous reste plus qu’à modifier la langue… Appuyez ensuite sur le bouton situé juste à droite des langues proposées pour prendre en charge immédiatement les modifications : C’est bien mieux comme ça non ?

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II. Premiers pas.

1. Bienvenue sur Diaspora* !

Un peu perdu ? Pas de problème, voyons rapidement ce que propose l’interface de Diaspora* (Figure 6) :

La barre de menu :

• DIASPORA* ALPHA : Lien vous permettant d’accéder rapidement à la page principale.
• la barre de recherche : Vous permet de rechercher des contacts mais également des « hashtags ».
• L’accueil : Accès direct à votre page d’accueil.
• Contacts : Permet de gérer vos contacts ainsi que vos aspects
• Notifications : Affiche les commentaires que d’autres utilisateurs auront laissés sur vos messages et bien plus encore.
• Messages : Diaspora* permet l’envoi et la réception de messages privés entre les utilisateurs. Ce lien vous amènera vers la boite de réception dans laquelle vous aurez le loisir de gérer et d’éditer vos messages.
• Menu de l’utilisateur : Permet d’accéder à la gestion de votre profil ainsi que des paramètres.

La barre latérale gauche :

• Photo du profil : Un simple clic sur votre photo et vous accédez à la page de votre profil.
• Aspects : Permet de gérer et de choisir les aspects.
• Tags : Liste des abonnements aux « hashtags » .

Les flux :

Similaire au mur de Facebook, c’est ici que vous posterez vos messages et que vous verrez ceux de vos contacts.

La barre latéral droite :

• Contacts : Aperçu de vos contacts et permet également la gestion de votre carnet d’adresses.
• Identifiant Diaspora* : Rappel de votre identifiant Diaspora*, il vous sera utile par exemple lors de l’inscription au service Cubbi.es
• Invitation : Envie d’inviter du monde ? Diaspora* vous permet d’envoyer des invitations directement par courriel ou via Facebook.
• Cubbi.es : Service permettant le partage simple d’images.

Figure 6

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2. Les aspects :

Je suppose que vous n’avez pas envie que votre patron découvre que votre absence du lundi est le résultat d’une fête trop arrosée ? Il y a des informations que l’on peut montrer à tout le monde, d’autres que l’on se doit de réserver à un cercle de contacts plus restreint et c’est bien là que les aspects de Diaspora* entrent en jeu ! Par défaut deux aspects vous sont proposés, pour commencer, nous allons en ajouter un puis modifier les deux autres, ce qui au final donnera les aspects suivant : Amis, Famille, Travail.

Ajouter un aspect :

Cliquez sur l’intitulé ‘+ Ajouter un aspect‘, puis indiquez par exemple « Travail » et validez (Figure 7). Il vous est également demandé si il faut rendre la liste des contacts contenus dans cet aspect visible ou non : À vous de choisir !

Figure 7

Renommer / Supprimer un aspect :

Placez votre souris sur l’aspect à modifier et appuyez sur l’icône représentant un crayon. Une nouvelle boite de dialogue fera son apparition vous demandant de supprimer ou de renommer cet aspect (Figure 8, 9) . Choisissez de le renommer, mettez cela à jour puis validez l’opération en appuyant sur le bouton ‘Terminé‘.

Figure 8

Figure 9

Vous voilà à présent en mesure de gérer convenablement vos aspects .

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3. Les contacts :

Pour le moment vous n’en n’avez aucun, un peu dérangeant quand on est sur un réseau social ! Alors voyons de suite comment vous faire un petit carnet d’adresses.

Vous connaissez déjà des personnes ayant un compte sur Diaspora* :

Il vous suffit alors de noter le nom ou l’identifiant du contact dans la barre de recherche (Figure 10) , une fois celui-ci affiché, cliquez sur le lien présenté. Le profil public s’affiche alors (Figure 11) , il ne vous reste plus qu’à l’ajouter à l’un des aspects.

Figure 10

Figure 11

Retournez sur votre page d’accueil, les informations rendues publiques par votre contact sont maintenant affichées dans votre flux (Figure 12) . Pour le moment, vous ne faites que suivre le fil d’actualité de cette personne, c’est un peu à l’image des « Followers » sur Identi.ca ou Twitter, en d’autres termes, elle ne partage rien de privé avec vous.

Figure 12

Lorsque cette personne aura accepté de partager avec vous, vous recevrez une notification (Figure 13) et il vous sera alors possible par exemple de lui envoyer des messages privés.

Figure 13

Envoyer des invitations :

Quoi de mieux que d’envoyer une invitation à vos proches pour qu’ils puissent s’inscrire sur Diaspora* ? Rendez-vous dans la rubrique « Invitez vos amis » présente dans la sidebar de droite et choisissez le moyen adéquat : Depuis Facebook ou par courriel, dans les deux cas rien de bien compliqué !

Par centres d’intérêt :

Vous vous souvenez de la description en cinq mots ? Et bien celle-ci va vous permettre de trouver des contacts partageant les même intérêts. Ce principe offre donc une excellente possibilité d’ouverture au partage ! Imaginons que vous adorez la cuisine et que vous êtes désireux de partager cette passion avec d’autres personnes : Il vous suffit alors de faire appel au « hashtag » #cuisine ou #cook (le # est important) dans la barre de recherche. Vous trouverez alors sur cette page, toutes les publications concernant ce centre d’intérêt ainsi que la liste des personnes abonnées (Figure 14). Voilà donc un excellent moyen de vous créer un cercle de contacts partageant vos passions .

Figure 14

En utilisant la liste des « Featured Users » :

Diaspora* met à disposition une petite liste d’utilisateurs : Cliquez sur l’icône des contacts située dans le barre de menu, puis choisissez l’intitulé ‘Featured Users‘. Vous voilà en présence de plusieurs utilisateurs (Figure 15), il ne vous reste plus qu’a choisir !

Figure 15

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4. Votre premier message :

Vos aspects sont définis et votre liste de contacts s’est étoffée ? Alors voyons de suite comment éditer votre première publication !

En toute franchise, il n’y a rien de vraiment compliqué à publier un message, il suffit de l’écrire et de l’envoyer (ce qui parait logique) mais Diaspora* permet de contrôler la publication de vos informations. En fait lorsque que vous publiez un message vous devez vous poser cette question : Faut-il que le message soit vu par tout le monde, par tous mes contacts ou encore par un aspect ou plusieurs aspects ?

En guise d’exemple, voici plusieurs types de messages dont les critères de publication sont différents :

« Le soleil brille aujourd’hui, une petite balade s’impose ! »

Critères : « Tout vos aspects » / « Public ».

Rien de particulier ici sauf le fait d’appuyer sur l’icône « Public » . (Figure 16)

Figure 16

« Pouvez vous me confirmer l’heure de notre réunion ? »

Critères : « Travail » / « Non public ».

Sélectionnez en mettant en surbrillance l’aspect « Travail » (sidebar de gauche), vous pouvez à présent écrire à destination de tout les contacts de cet aspect.

« Génial, je vais enfin pouvoir faire la fête ce week-end ! Marre de ce travail… « 

Critères : « Tout vos aspects sauf Travail » / « Non public ».

Idem que précédemment sauf qu’il vous faudra mettre en surbrillance tout vos aspects hormis celui concernant vos relations de travail.

Cette possibilité de contrôle des publications offerte par Diaspora* est un sérieux atout : Ne vous privez de celle-ci sous le prétexte de la facilité, toutes les informations ne concernent pas forcément tout le monde !

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5. Publier des images :

Il est bien évident que Diaspora* permet de publier des images, lors de l’édition d’un message, il suffit d’appuyer sur le petit logo en forme d’appareil photo puis de choisir la ou les images que vous désirez publier. À noter que Diaspora* permet l’upload d’images au format .gif .

Le gros défaut de Diaspora* à ce jour est qu’il est impossible de ranger ces images dans un album… Pour regarder l’ensemble des images publiées par un contact, il faut se rendre sur la page de celui-ci puis cliquer sur sa photo de profil !

Un vrai parcours du combattant ! En espérant que la mise en place d’une véritable galerie soit prévue dans les semaines à venir…

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6. La messagerie privée :

Diaspora* permet d’envoyer un message directement à vos contacts. Pour effectuer cette opération, deux solutions s’offrent à vous :

• Se rendre directement dans la boite de réception.
• Aller sur la page de profil du contact.

Bien que les deux solutions soient valables, il me semble plus aisé de recourir à la première : Appuyez en premier lieu sur l’icône en forme d’enveloppe dans la barre de menu. Arrivé sur cette nouvelle page, il ne vous reste plus qu’à choisir « Nouveau message« , ce qui aura pour effet d’afficher une nouvelle boite de dialogue. (Figure 17)

Figure 17

Tout comme pour la rédaction d’un message sur votre « mur », le nom de votre contact se complétera automatiquement, à la différence qu’il n’est pas nécessaire d’y joindre le symbole ‘@‘. Si vous le désirez, vous pouvez également envoyer un message à plusieurs de vos contacts : Il suffit d’en ajouter les noms.

Vous pouvez également gérer votre boite de réception en supprimant par exemple les conversations (Figure 18) : Sélectionnez l’une d’entre elles puis appuyez sur la petite croix située en haut à droite, validez votre choix et le tour est joué !

Figure 18

Dans le cadre de la deuxième solution, il faudra vous rendre sur le profil de votre contact puis appuyer sur le bouton ‘Message‘. Le reste de la manipulation étant identique… Je vous laisser tester .

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III. Plus loin avec Diaspora*

1. Écrire avec style :

Il s’avère parfois bien sympathique de mettre son texte en forme : Une écriture en gras ou en italique, une insertion de lien, une mention d’un utilisateur etc… Je ne vais pas rentrer dans les détails du code syntaxique utilisé par Diaspora* mais simplement vous donner quelques exemples :

Les titres :

# Titre de niveau 1 #

## Titre de niveau 2 ##

### Titre de niveau 3 ###

#### Titre de niveau 4 ####

Les listes :

* Liste à puces 1

* Liste à puces 2

* Liste à puces 3

1. Liste numérotée 1

2. Liste numérotée 2

3. Liste numérotée 3

Style d’écriture :

* Écriture en italique *

** Écriture en gras **

*** Écriture en italique et gras ***

Insertion d’un lien :

[Titre du lien](http://adresse_du_lien.com)

Insertion d’une image :

![Titre de l'image](http://adresse_de_l_image.jpg)

Insertion d’un code :

`yaourt -S diapora-git`

Mention d’un contact Diaspora* :

[@nom](identifiantdiaspora)

Insertion d’une vidéo ( Youtube ):

http://www.youtube.com/watch?v=SyxvXBA0EHY

Exemple (Figure 19) :

**Un message pour tester !**
 
*Ce n'est pas grand chose mais voici une petite* **vidéo** :
 
http://www.youtube.com/watch?v=SyxvXBA0EHY
 
***Enjoy !***
 
Vous pouvez aussi visiter le site planet libre en cliquant [ici](http://www.planet-libre.org/).
 
Et pour finir, je fait une petite mention de [@David](https://diasp.org/people/10267) :)

Figure 19

Lors de la publication d’un message, la mention d’une personne se fait de manière automatique en insérant le signe « @ » avant d’écrire le nom du contact. Celui-ci se complètera au fur et à mesure de son écriture mettant à disposition une liste correspondant aux premières lettres inscrites.

Cette option n’est malheureusement pas disponible lors de la publication d’un commentaire, il vous faudra donc utiliser la syntaxe appropriée pour arriver à vos fins.

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2. Les commentaires.

Diaspora* vous permet de laisser en toute logique des commentaires sur vos publications ainsi que sur celles de vos contacts, plusieurs possibilités s’offrent à vous selon les cas (Figure 20) :

• Envoyer un commentaire.
• Indiquer que vous aimez un message et/ou commentaire.
• Repartager le message original pour le montrer à vos contacts (Reshare).

L’édition d’un commentaire se fait de la même manière que la publication d’un message, vous pouvez sans problème utiliser les syntaxes d’écriture de la section précédente. Enfin sachez qu’il est tout à fait possible de supprimer un de vos commentaires en cliquant sur la petite croix située à droite de celui-ci.

Figure 20

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3. Les hashtags :

Je vous en ai déjà beaucoup parlé, mais voyons comment utiliser ceux-ci dans la publication d’un message. Imaginons que vous écrivez un message du genre :

Je veux faire des crêpes mais je ne sais pas si je dois ajouter de la bière ! Une idée ?

Une bien jolie question qui aura beaucoup plus de chance de trouver une réponse si celle-ci est accompagnée de plusieurs « hashtags ». Le principe consiste à faire apparaitre des mots clés qui seront susceptibles de faire partie d’un point d’intérêt commun. On peut donc agrémenter ce message de la sorte :

Je veux faire des crêpes mais je ne sais pas si je dois ajouter de la bière ! Une idée ?
#cuisine #bière #crêpe

Quand vous diffusez une image, le principe est le même : N’hésitez pas à en faire la description mais aussi à y joindre des « hashtags ». Il n’est pas rare de voir une image sur Diaspora* uniquement agrémentée de « hashtags » : L’intérêt est double, non seulement la description est effectuée mais aussi sa classification selon les points d’intérêt donnés par l’utilisateur !

Si vous avez envie d’être au fait d’un fil d’actualité bien précis, Diaspora* vous permet de suivre les « hashtags » selon vos besoins. Il suffit alors de vous abonner à l’un d’entre eux pour qu’il apparaisse dans la sidebar de gauche (Figure 21)et soit disponible d’un seul clic de souris !

Figure 21

Ouvrez tout d’abord un page concernant un « hashtag » et cliquer sur le bouton « Follow » (Figure 22), de retour sur votre page d’accueil, vous voilà agrémenter d’un lien pointant sur ce « hashtag ». Pour se désabonner, il suffit d’appuyer de nouveau sur ce même bouton : Facile non ?

Figure 22

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4. Cubbi.es :

Cubbi.es est la première application pour Diaspora*, celle-ci permet de partager de manière simple et rapide des images. Pour utiliser cette fonctionnalité, il faut suivre plusieurs étapes :

• Inscription au service.
• Mise en relation de Diaspora* et de Cubbi.es.
• Installation d’une extension additionnelle.

Malgré ces différentes tâches, vous serez prêt à utiliser ce service en moins de 5 minutes, suivez le guide :

Cliquez sur le lien « En savoir plus » disponible sur la sidebar de droite, vous arriverez sur une page vous vantant les mérites de Cubbi.es.Pour parvenir jusqu’à la page d’inscription appuyez en toute logique sur le bouton « Inscrivez-vous dès aujourd’hui !« . (Figure 23)

Figure 23

Pour accéder au formulaire d’inscription, la man\u0153uvre est un peu spéciale : Vous devez appuyer simultanément sur la touche [ Maj ] de votre clavier et cliquer sur le lien « hold shift and click here to get started » (Figure 24) . Une man\u0153uvre que vous utiliserez à chaque fois par la suite pour partager vos images .

Figure 24

Le formulaire d’inscription est très banal (Figure 25) : Un pseudo, un mot de passe et une adresse courriel. Une fois celui-ci complété, appuyez sur le bouton ‘Sign in‘.

Figure 25

Pour utiliser ce service, reste l’installation d’un plugin pour votre navigateur web. Pour le moment, il existe uniquement des extensions pour Firefox et Chrome (Chromium). Appuyez sur le lien correspondant à votre navigateur et installez celui-ci. (Figure 26)

Figure 26

La dernière étape consiste à lier votre compte Diaspora* au service Cubbi.es (Figure 27, 28) , accédez à la page http://cubbi.es/users/edit puis insérez votre identifiant Diaspora* (Si vous ne le connaissez pas encore, il se situe sur la sidebar de droite de votre page d’accueil, exemple : ubunblox_text@diasp.org). Suite à la validation de votre identifiant, une nouvelle page s’ouvre à vous, demandant l’acceptation de l’application : Chose que vous devriez déjà avoir fait .

Figure 27

Figure 28

À l’usage, il vous suffira de réitérer le même système utilisé lors de l’inscription, à savoir un maintien de la touche [ Maj ] suivi d’un clic sur l’image. Celle-ci se retrouvera alors sur votre page Cubbi.es mais également sur Diaspora* ! Voilà un excellent moyen de partager à la volée toute sortes d’images, le seul regret étant l’impossibilité d’ajouter un « hashtag » ni le moindre commentaire avant la publication…

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5. Les flux RSS :

Diaspora* offre la possibilité de suivre le fil d’actualité de vos contacts via un flux RSS. Si cette fonctionnalité vous intéresse, ajoutez cette ligne à l’application gérant vos flux RSS :

https://joindiaspora/public/pseudo

Bien évidement, le serveur dépend de celui du contact ainsi que son identifiant !

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IV. Options et gestion du compte

Note : Toutes les manipulations qui suivront seront à effectuer via l’accès au bouton « Paramètres » situé dans la barre de menu.

1. Gestion du profil :

Voilà de quoi agrémenter votre profil ! Tout peut être modifié à souhait : Nom, photo, biographie, date de naissance, etc… Notez la différence entre ce qui peut être vu sur votre profil public et le profil privé (Figure 30) , un bon point pour Diaspora* qui définit clairement la frontière entre les deux.

Figure 30

Une fois les modifications effectuées, n’oubliez pas d’appuyer sur le bouton « Mettre à jour le profil » situé en bas de la page.

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2. Paramètres du compte :

Cette page vous permet de modifier et/ou d’accéder aux paramètres suivant (Figure 31) :

• L’identifiant Diaspora*.
• L’adresse électronique permettant de recevoir les notifications.
• Modification du mot de passe de connexion.
• Choix de la langue.
• Choix des notifications à recevoir par courriel.
• Exportation des données de l’utilisateur.
• Fermeture du compte.

Figure 31

L’exportation des données consiste à récupérer son fichier XML, celui-ci regroupe vos contacts, les liens menant vers vos publications, etc… À l’heure actuelle, il n’y a pas vraiment d’intérêt à l’exporter car il est impossible de l’importer ! Il sera très certainement possible par la suite d’importer/exporter ses informations sur un autre serveur, cela permettra à l’utilisateur de se détacher complètement d’un serveur pour en utiliser un autre selon ses besoins.

Pour ce qui est du téléchargement des photos, cette fonctionnalité est pour le moment inopérante. Dommage, car la possibilité de récupérer son fichier XML ainsi que ses photos de manière aussi simple est vraiment une très bonne idée !

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3. Ajout des services :

Il vous est possible de connecter des services comme Facebook, Twitter ou encore Tumblr à Diaspora* pour partager vos publications de manière simple. (Figure 32)

En toute logique, il vous faudra posséder un compte sur ces différents services pour pouvoir prétendre à cette fonctionnalité .

Figure 32

Mon plus grand regret sur cette fonctionnalité est l’ignorance des développeurs pour le réseaux Identi.ca… En espérant que ce service soit ajouté rapidement !

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4. Gestion des applications :

C’est ici que vous autoriserez ou non, les applications à se connecter à votre compte (Figure 33). Pour le moment seul Cubbi.es est présent, Diaspora* est encore en version alpha, bon nombre d’applications devraient emboiter le pas d’ici la version bêta ou stable du projet.

Figure 33

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V. Bonus

1. Diaspora* et Identi.ca :

À l’heure où j’écris ces lignes, le réseau social Diaspora* permet de se mettre en relation avec les services Facebook, Twitter ou encore Tumblr. Quand je parle de mise en relation, je fais mention de la possibilité d’envoyer un message simultanément sur les différentes plateformes citées précédemment.

Pour le moment, le support des services Identi.ca/StatusNet n’est pas encore à l’ordre du jour. Une situation regrettable pour toute la communauté des libristes mais qui n’est que temporaire puisque les développeurs en charge du projet travaillent sur le sujet.

En attendant, comment faire pour afficher simultanément ses messages sur Diaspora* et Identi.ca ? La réponse se nomme tout simplement Brdcst it, un service tiers qui permet d’effectuer cette tâche en attendant une véritable intégration.

Alors ça fonctionne ?

Le principe est relativement simple : Le service Brdcst it va tout simplement récupérer et diffuser le flux RSS de votre profil Diaspora*. Cette méthode a bien évidement des limites, le choix de la parution ou non parution d’un message vers Identi.ca n’est par exemple pas vraiment possible à moins de désactiver le service à chaque fois…

Bien évidement, tout cela fait un peu rustine mais cette solution a tout de même le mérite de bien fonctionner, alors voyons comment mettre en place ce système !

How to :

Rendez-vous en premier lieu sur le service Brdcst it en vous rendant à cette adresse :

• http://brdcst.it/

Puis cliquez sur le lien nommé ‘Login / Register‘ (Figure 1Brd).

Figure 1Brd

Afin de faciliter l’inscription, vous allez vous identifier directement avec votre ID provenant d’Identi.ca. Appuyez sur l’icône correspondant au service Identi.ca puis inscrivez votre nom d’utilisateur (Figure 2Brd).

Figure 2Brd

Acceptez l’identification (Figure 3BrdBrd).

Figure 3Brd

Vous voilà à présent sur la page d’inscription (Figure 4Brd), rien de bien difficile ici, inscrivez tout simplement une adresse de courriel valide ainsi qu’un pseudonyme d’identification. Un fois cela fait, cochez la petite case située en bas de la page et validez votre inscription en appuyant sur la bouton ‘login‘.

Figure 4Brd

Vérifiez ensuite votre boite courriel afin de valider votre inscription en cliquant sur le lien fourni (Figure 5Brd).

Figure 5Brd

Passons à présent à la configuration du service. Une fois arrivé sur la page indiquée par le lien, cliquez sur la mention ‘Add your first feed‘ (Figure 6Brd).

Figure 6Brd

La man¿uvre consiste à indiquer le flux RSS de votre profil Diaspora* (Figure 7Brd), dans mon cas, il s’agit de :

https://joindiaspora.com/public/weedfast

Figure 7Brd

N’hésitez pas à tester votre lien avant de passer à la prochaine étape !

La suite sert à indiquer les « entêtes » à récupérer, vous pouvez laisser les valeurs par défaut sans oublier de cocher la case ‘Enabled‘ pour prendre en compte votre flux (Figure 8Brd).

Figure 8Brd

Maintenant que vous avez choisi la source, il va bien falloir indiquer une destination, à savoir envoyer, le flux RSS de votre profil Diaspora* vers Identi.ca ! De retour sur la page d’accueil, appuyez sur ‘Add new destination‘, puis choisissez le service Identi.ca (Figure 9Brd).

Figure 9Brd

Il ne vous reste plus qu’à autoriser l’application Brdcst it (Figure 10Brd), puis de sauvegarder votre configuration !

Figure 10Brd

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Fin de cet article qui je l’espère vous sera utile !

Liens :

• Blog officiel du projet Diaspora*
• Diaspora Pod uptime
• Télécharger l’article au format .html

Je mets à disposition cet article au format .html, un fichier que j’ai rédigé entièrement avec le logiciel Vim.

Peut-être l’avez-vous déjà remarqué, mais une nouvelle fonctionnalité est apparue sur UbunBloX… Depuis maintenant deux jours, le service Jappix Mini est disponible sur mon blog : l’intégration s’est d’ailleurs déroulée en toute simplicité grâce au plugin destiné à la plate-forme WordPress.

Alors Jappix Mini c’est quoi ?

Il s’agit d’un service utilisant le protocole Xmpp permettant l’intégration d’un mini-chat au sein d’une page web à l’image de ce qui se fait sur Facebook ( Je sais ce n’est certainement pas une référence ). D’un point de vue utilisation pour accéder au salon destiné au blog, il suffit simplement de laisser un pseudo et de communiquer : On peut difficilement faire plus simple !

J’ai profité de cet intégration, pour créer mon propre salon et pour ce qui est du nom je n’ai pas cherché bien loin ni voulu faire dans l’originalité puisqu’il qu’il se nomme « ubunblox » ! Pour ceux et celles que cela intéressent voici l’adresse du salon en question :

ubunblox@muc.jappix.com

Vous pouvez bien évidement accéder à ce salon via des clients Xmpp traditionnels comme Pidgin, Gajim ou encore le client en mode texte Poezio que j’affectionne tout particulièrement.

À bientôt et bienvenue aux trolleurs !

Liens :

• Jappix Mini sur le weblog de Vanaryon
• Page officielle

Dans la même catégorie :

• Jappix en pratique
• XMPP avec le client Poezio

Beaucoup d’entre vous connaissent déjà Jappix, qui pour information est une plateforme sociale qui permet de communiquer de manière simple. Histoire de ne pas réinventer la roue, voici la présentation de Jappix que l’on trouve sur la page de connexion :

Communiquez avec le monde entier !

Jappix est une plateforme sociale géniale, accessible de n’importe où, n’importe quand, et qui vous permet de communiquer avec qui vous voulez.
Entrez en contact avec les millions de personnes qui utilisent le réseau XMPP comme vous le faites avec Jappix. Rejoignez-nous et restez libre !

Tout est dit ! Libre et accessible Jappix est un modèle de simplicité : On accède au service via son navigateur web, on rentre ses identifiants et on communique !

Cet article est une simple occasion de décrire les différentes méthodes d’utilisations ou plutôt de montrer comment se servir de Jappix pour communiquer avec des contacts utilisant des services divers et variés dont voici la liste :

• Jabber
• Gmail
• MSN
• Facebook

Pas de terme technique ni de ligne de commande ici, on se cantonne au principal : Communiquer facilement avec tout le monde !

Screenshots :

Compte Jappix :

Vous ne possédez pas encore de compte utilisant le protocole XMPP ? Aucune importance, Jappix vous permet de créer un compte en quelques secondes.

• Étape 1 : Rendez-vous sur la page d’accueil de Jappix.
• Étape 2 : Cliquez sur « Inscription » et remplissez avec soin le formulaire.
• Étape 3 : Validez et connectez vous !

Compte Jabber et Gmail :

Si vous êtes en possession d’un compte Gmail ou Jabber, il vous suffit de vous connecter en utilisant vos identifiants : On peut difficilement faire plus simple !

Compte MSN :

Pour communiquer avec vos contacts utilisant le réseau MSN ça se complique un peu, enfin pas vraiment…

• Étape 1 : Connectez vous à l’aide de votre compte Jappix précédemment créé.
• Étape 2 : Cliquez sur la quatrième icône située en bas de la liste des contacts ( Plus de choses ) et choisissez « Découvertes des services ».
• Étape 3 : Cherchez la ligne « msn.jappix.com », cliquez sur l’icône représentée par une clef ( Souscrire ).
• Étape 4 : Rentrez vos identifiants et appuyez sur « soumettre ».
• Étape 5 : Une fois le formulaire envoyé, une notification vous sera soumise en vous demandant d’accepter « msn.jappix.com » comme ami : Bien évidement, il vous faudra accepter .
• Étape 6 : … Communiquez !

Note : Si vous utilisez déjà un serveur Jabber proposant une passerelle MSN, vous pouvez bien sûr utiliser celui-ci !

Compte Facebook :

Facebook utilise le protocole XMPP, on pourrait donc penser qu’il suffit de rentrer ses identifiants pour communiquer… En faite non, la manœuvre est un peu plus subtile :

• Étape 1 : Dans le cadre on vous n’avez pas encore un nom de profil Facebook, rendez vous sur cette page.
• Étape 2 : Une fois votre identifiant en main, connectez vous de cette maniere : votrepseudo@chat.facebook.com
• Étape 3 : Enjoy !

Attention : Si votre identifiant contient des caractères majuscules, il vous faudra les écrire en minuscules !

Fin de cet article, vous êtes donc en mesure de communiquer simplement à l’aide de Jappix !

Je ne vous ai pas parler de Jappix-mini, de la possibilité de rejoindre les réseaux IRC ou encore de communiquer sur les salons Jabber… Comme vous avez pu le voir, ce n’était pas le but de cet article : J’espère cependant que celui-ci sera utile à une poignet d’entre vous .

Jappix est vraiment d’une simplicité déconcertante, il permet de se connecter sans avoir à installer le moindre client : Chose appréciable surtout si vous avez l’idée de communiquer tranquillement pendant vos heures de travail, un simple navigateur web et tout vos contacts seront à porter de clic !

Liens :

• Site officiel du projet Jappix
• Page de connexion au service Jappix

Pentadactyl, un plugin pour tout les « vimeux ».

Avant tout et pour ceux qui ne le savent pas encore, Pentadactyl est un fork du célèbre Vimperator, un plugin destiné à épurer l’interface de Firefox mais surtout de permettre une utilisation proche de l’éditeur de texte Vim : Comprenez donc que votre fureteur sera entièrement utilisable au clavier et bien plus encore !

Screenshots :

Installation :

L’installation n’a rien de compliquée, ouvrez votre terminal et faites :

$ yaourt -S firefox firefox-i18n-fr pentadactyl

Mon avis :

À l’utilisation Pentadactyl est vraiment agréable, étant un utilisateur de Jumanji et accessoirement de Uzbl, j’ai rapidement pris mes marques : Les fonctionnalité offertes par ce plugin permettent de faire ce que l’on veut sans lâcher son clavier. L’un des gros avantage de cet ensemble, c’est d’utiliser le navigateur Firefox et donc d’avoir accès à cette fantastique bibliothèque de plugins en tout genre en ayant une utilisation similaire à Vim : Pour faire simple vous avez le droit aux avantages de Firefox et de Vim dans une seule et même application !

Cet avantage est aussi pour moi un inconvénient majeur : Firefox est un formidable navigateur mais qui est d’une lourdeur et d’une lenteur désespérante… Pour information, j’ai abandonné celui-ci dès sa version 3.X pour des applications plus légères comme Midori, Chromium, Uzbl-tabbed et bien évidement Jumanji.

Il y a aussi des choses qui m’ont plus ou moins choquées à l’ouverture de ce couple d’applications :

• La présence de la barre de scrooling verticale.
• Le bouton du menu principal est affiché.
• Une barre d’onglets non modifiée .

Garder une barre de scrooling, un accès au menu ou encore une barre d’onglets munie de ses boutons de fermeture disgracieux est pour moi un non-sens total ! Le but de Pentadactyl est entre autres, de pouvoir utiliser entièrement son navigateur au clavier : Alors pourquoi garder toutes ses choses qui sont totalement inutiles ? La logique aurait été de ne garder qu’une barre d’onglets épurée de ses boutons : Une chose qui est sûrement possible de faire en mettant les mains dans le cambouis bien que je n’ai pas encore eu le temps de trouver la solution…

Alors à qui s’adresse cet ensemble ? Bien évidement, pour les amoureux de Vim mais surtout pour ceux et celles qui ne jurent que part Firefox. Pour les autres, je conseille vivement de regarder du coté de Uzbl-tabbed et de Jumanji qui sont des alternatives bien plus légères…

Mon constat est donc comme vous avez pu le voir en demi-teinte, d’un coté nous avons Pentadactyl qui est un plugin formidable et de l’autre Firefox un navigateur ultra complet qui manque de légèreté : Espérons simplement que les prochaines versions de ce navigateur supprime définitivement ce mauvais point !

Le rêve selon moi serait d’avoir un plugin du même acabit pour un navigateur tel que Midori !

Lien :

• Site officiel de Pentadactyl

Dans la même catégorie :

• Jumanji : L’autre navigateur

Cette application en ligne de commande vous permettra d’envoyer vos fichiers au format texte ou autre vers le service désiré mais également le résultat d’une commande : Une fonctionnalité bien pratique qui vous évitera d’interminables copier/coller !

Encore une application en ligne de commande ?

Simple d’utilisation, wgetpaste permet également de copier directement l’adresse obtenue dans le presse papier : Il ne vous restera plus qu’a donner ce lien à qui de droit !

Installation :

Ouvrez un terminal et faites :

$ yaourt -S wgetpaste

How to :

Syntaxe :

$ wgetpaste [option(s)] [commande] [fichier]

Options principales :

Voici une petite liste des options supportées par wgetpaste :

• -S : Liste les services disponibles.
• -s : Utilise le service indiqué.
• -L : Affiche les langages supportés pour la coloration syntaxique.
• -l : Utilise le langage désiré.
• -E : Liste la durée de vie disponible sur le service utilisé.
• -e : Utilise le délai d’expiration indiqué.
• -c : Envoie le résultat de la commande.
• -X : Copie l’Url obtenue vers le presse papier primaire.
• -C : Copie l’url obtenue vers le clipboard.
• -u : Transforme l’Url grâce au service tinurl.
• -h : Affiche l’aide.

D’autres fonctionnalités sont présentes, pour les découvrir, faites simplement :

$ wgetpaste -h

Fichier de configuration :

Il est possible de créer un fichier de configuration stipulant le service à utiliser, le type de fichier, l’auteur ou encore de définir le délai d’expiration. Il vous suffit pour cela de créer le fichier .wgetpaste.conf dans votre /home :

$ vim ~/.wgetpaste.conf

Voici un exemple de fichier :

#!/bin/bash
 
## Pseudo ##
 
DEFAULT_NICK="David"
 
## Service par défaut ( ca, codepad, dpaste, osl, pocoo) ##
DEFAULT_SERVICE="ca"
 
## Langage par défaut ( Bash, c++, HTML, Java, Perl, PHP, Plain Text, etc... ) ##
DEFAULT_LANGUAGE_ca="Plain Text"
DEFAULT_LANGUAGE_pocoo="Bash"
 
## Délai d'expiration ##
DEFAULT_EXPIRATION_ca="1 month"

Exemples d’utilisation :

• Envoyer le fichier ~/.xinitrc :

$ wgetpaste ~/.xinitrc

• Envoyer le résultat de la commande df :

$ wgetpaste -c df

• Envoyer le résultat de la commande lscpu vers le service codepad en la copiant dans le presse papier primaire :

$ wgetpaste -s codepad -X -c lscpu

• Envoyer le contenu du fichier fstab en indiquant le type de fichier vers le service dpaste :

$ wgetpaste -s dpaste /etc/fstab -l "Plain Text"

Simple non ? Et plus aucune raison pour polluer un forum avec vos fichiers de configuration !

Lien :

• Site officiel

Pour ceux et celles qui utilisent déjà Newsbeuter, je ne pense pas leur apprendre grand chose… Pour les autres ce sera peut être l’occasion de tester et pourquoi pas d’adopter ce lecteur de flux RSS !

Gestion des tags :

Newsbeuter permet d’appliquer un tag à chacun de vos flux, ce qui en cas d’adresses trop nombreuses peut se révéler bien pratique ! Pour effectuer cette action, il vous suffit d’ajouter le terme voulu en suivant cette syntaxe :

[ Url ] [ Tag ]

Exemple :

http://www.planet-libre.org/feed.php?type=rss Planet

Une fois cela fait, appuyez sur la touche [ t ] pour afficher la liste de vos tags !

L’affichage des tags sous Newsbeuter.

Ajout d’un drapeau :

La masse d’informations récoltée peut souvent s’avérer importante et par manque de temps, il est parfois impossible de lire un article dans son intégralité. La solution consiste à lui ajouter un drapeau afin de le retrouver facilement par la suite, c’est simple et efficace !

Pour marquer un article, appuyer simplement sur les touches [ Ctrl + e ] puis nommez le drapeau d’une simple lettre. Un point d’exclamation confirmera le marquage et vous permettra de visualiser rapidement vos articles préférés. Effectuez la même opération en laissant le nom du drapeau vide pour l’annuler.

Les articles munis d’un drapeau sont marqués d’un simple  » ! « .

Modification de l’affichage :

Il est tout à fait possible de modifier l’affichage des flux en les rangeant de différentes manières, faites appel à cette fonction avec la touche [ g ] puis sur une autre selon vos besoins :

• [ a ] : Nombre d’articles dans le flux.
• [ d ] : Date de parution.
• [ t ] : Titre.
• [ f ] : Drapeau.
• [ a ] : Auteur.
• [ l ] : Lien.
• [ u ] : Lu/non lu.

Pour inverser l’ordre d’affichage, utilisez les touches [ Maj + g ] puis la lettre de votre choix.

Fonction de recherche

Une fonction que j’utilise assez peu mais qui c’est déjà montrée efficace à plusieurs reprises ! Les habitués des applications en mode texte ne seront pas dépaysés : Appuyez sur [ / ] suivi du terme de votre recherche.

Voilà donc de quoi rendre l’utilisation de Newsbeuter plus agréable ! Si vous avez d’autres astuces, n’hésitez pas à m’en faire part .

Lien :

• Site officiel

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• Flux RSS avec Newsbeuter